Event Type : Conférence

Découvrir les conférences gesticulées

Pour cette soirée d’ouverture, nous vous entrainons dans les prémices des conférences gesticulées. À notre suite, nous vous inviterons à monter sur scène pour nous raconter « le jour où… » et ainsi vous initier à l’écoute et au partage des récits de vie, base des conférences gesticulées.

Avec les Tumultueuses, la MJC Sans Souci et la MJC Pierre Bénite André Vial

Cette conférence explore notre dépendance aux téléphones et l’influence des géants du numérique (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft). Vincent réalise que ces entreprises, loin d’être anodines, menacent nos libertés et fragilisent nos démocraties. À travers l’humour et la réflexion, il s’interroge : comment échapper à cette emprise et agir face à ce « capitalisme de surveillance » ?

Nos émotions ne seraient-elles pas politiques ? Mépris social, sentiment d’illégitimité, comment survivre aux chocs des rapports de classe ? Comment franchir les épreuves de sentiment d’illégitimité, de honte et de mépris social pour s’émanciper, vivre et travailler ensemble ? Une conférence gesticulée pour comprendre où se jouent les rapports de classes dans nos quotidiens, nos amitiés et nos combats.

Nos émotions ne seraient-elles pas politiques ? Mépris social, sentiment d’illégitimité, comment survivre aux chocs des rapports de classe ? Comment franchir les épreuves de sentiment d’illégitimité, de honte et de mépris social pour s’émanciper, vivre et travailler ensemble ? Une conférence gesticulée pour comprendre où se jouent les rapports de classes dans nos quotidiens, nos amitiés et nos combats.

C’est quoi la vieillesse ? À quel âge est-on vieux ? Les “valeurs” prônées par notre société – compétition, productivité, accélération, illimitation, marche en avant, innovation permanente – sont-elles compatibles avec les réalités de la vieillesse et de la mort ? Et alors, que faut-il faire des vieux ? Leur intimer l’ordre de rester jeunes ou les cacher parce qu’ils nous dérangent ?

Aurélien raconte son histoire d’enfant et d’éducateur et questionne la condition des enfants et notre rapport aux droits. A travers une analyse philosophique et politique, il nous propose un nouveau regard sur l’éducation, l’émancipation des mineurs et la dyslexie. Cette conférence navigue entre la vision des adultes et celle des enfants ou entre celles des éduqués et des éducateurs.

Alban est médiateur scientifique. Il transmet sa passion de la compréhension de la Nature. Mais cela engendre un coût, humain et matériel. C’est un gros coup au moral, éthique et psychologique, dans lequel le système capitalo-industriel nous enferme : le conflit de loyauté. Alban gesticule la démonstration que ce conflit de loyauté contraint les médiateurices scientifiques et les chercheureuses à être neutres.

“Les Banques, la finance, c’est une affaire d’experts, circulez, et laissez ces messieurs faire.” Ne pouvons-nous donc parler que des services que les banques nous rendent sans envisager leur rôle central dans la financiarisation du monde ? Dépassons le discours d’expertise et questionnons la place laissée aux banques et les options pour faire reculer l’emprise de la finance sur nos sociétés.

De nos jours, en apparence, le poil est très peu présent sur le corps de la femme. Certains hommes pensent que, chez la femme, le poil n’existe pas, d’autres qu’il ne doit pas exister. Selon les cultures, on le fait disparaître ou on le vénère. Mais aujourd’hui, qu’en est-il ? Le poil, un prétexte pour, de manière décalée, révéler bien plus que ce qu’il n’y paraît. Le corps devient un réel enjeu et l’intime devient politique.

L’énergie est au centre de nos vies, à chaque instant, nous en consommons. Mais d’où vient-elle, qui la produit ? Dans sa petite histoire de l’énergie, entre luttes populaires et jongleries, Manuel Moreau aborde ces grandes questions et apporte un peu de lumière sur les enjeux liés à l’énergie, à la sobriété énergétique et à notre avenir.

De nos jours, en apparence, le poil est très peu présent sur le corps de la femme. Certains hommes pensent que, chez la femme, le poil n’existe pas, d’autres qu’il ne doit pas exister. Selon les cultures, on le fait disparaître ou on le vénère. Mais aujourd’hui, qu’en est-il ? Le poil, un prétexte pour, de manière décalée, révéler bien plus que ce qu’il n’y paraît. Le corps devient un réel enjeu et l’intime devient politique.

Cette conférence vous plonge dans le récit d’Awa qui partage son parcours, depuis l’arrivée de sa mère en France jusqu’aux défis de son enfance, puis ceux en lien avec son engagement social. “Il faut que je vous raconte” est un moment où chaque geste et chaque mot racontent une histoire de résistance, d’espérance et de solidarité pour inspirer et célébrer la force de la parole libérée.

La robotique et l’IA nous apportent sans cesse de nouvelles controverses. Le chatbot intelligent est un système de décision construit sur des données collectées à notre insu. On se représente des robots humanoïdes sympathiques mais il s’agit plutôt d’automates omniprésents, cachés dans nos objets les plus intimes. Ils ne veillent pas sur nous, ils nous surveillent !

La robotique et l’IA nous apportent sans cesse de nouvelles controverses. Le chatbot intelligent est un système de décision construit sur des données collectées à notre insu. On se représente des robots humanoïdes sympathiques mais il s’agit plutôt d’automates omniprésents, cachés dans nos objets les plus intimes. Ils ne veillent pas sur nous, ils nous surveillent !

Nos émotions ne seraient-elles pas politiques ? Mépris social, sentiment d’illégitimité, comment survivre aux chocs des rapports de classe ? Comment franchir les épreuves de sentiment d’illégitimité, de honte et de mépris social pour s’émanciper, vivre et travailler ensemble ? Une conférence gesticulée pour comprendre où se jouent les rapports de classes dans nos quotidiens, nos amitiés et nos combats.

Les ritournelles sont des rengaines qui s’imposent à nous sans s’en rendre compte et qui restent en tête pendant des heures. Ce sont des comptines pour enfants et des tubes de l’été qu’on ne supporte plus. La violence psychologique, elle aussi, s’entend à peine et ne se voit pas. Mais elle fait son œuvre et s’insinue dans les pensées d’une victime qui finit par se croire coupable, responsable de sa propre souffrance morale.