ou l’identié française en question
« Pour les descendants d’algérien·nes, il y a comme une zone grise : une histoire coloniale mise sous silence, une guerre faite “d’événements”, des représentations racistes et des inégalités qui perdurent. Intégrée par l’école républicaine, j’ai joué le jeu de l’intégration. En m’assimilant, j’ai refoulé une partie de mon héritage. Je fais aujourd’hui marche arrière, ramasse tous les indices et reforme le puzzle de mon histoire, de notre histoire pour mieux la déconstruire. »